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Un sondage Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès décrit les idées suicidaires des Français notamment après le confinement du printemps 2020. Pierre Luton, journaliste, rédacteur en chef d'A part entière, le magazine de la Fnath.

17 % des sondés ont envisagé de se suicider après le confinement

Posted on 9 novembre 20209 novembre 2020

Un sondage Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès décrit les idées suicidaires des Français notamment après le confinement.

17 % des sondés

En 2020, 20 % des personnes interrogées déclarent avoir envisagé « sérieusement » de se suicider. Parmi celles-ci, 11 % y ont pensé durant le premier confinement. Et 17 % depuis la fin de ce premier confinement. Le confinement apparaissant, par contraste, comme « facteur de protection », le déconfinement, comme « facteur de risque ».

Fondation Jean-Jaurès

La Fondation Jean-Jaurès, à l’origine de cette étude, souligne que toutes les études montrent que les effets suicidaires des crises se font sentir dans un délai de plusieurs mois voire quelques années. « Ainsi, pour celle de 1929, c’est à partir des années 1930-1931 qu’on a pu observer le pic le plus élevé et pour celle de 2008, c’est en 2009 et 2010. » Ce décalage dans le temps, ne permet donc pas de connaître dès maintenant les effets de la crise sanitaire et ses conséquences sociales sur le risque suicidaire en France. « C’est la raison pour laquelle nous avons souhaité mesurer, notamment, les idées suicidaires déclarées, avant, pendant et après le premier confinement ». L’enquête a été dirigée par Michel Debout, professeur de médecine légale et membre de l’Observatoire national du suicide.

Après le confinement

Parmi les personnes qui ont eu de telles idées noires depuis la fin du confinement, période la plus sensible, selon l’enquête, l’on retrouve des catégories particulièrement à risque. Notamment les moins de 35 ans (30 %) qui indiquent avoir eu l’intention réelle d’en finir, et, particulièrement, les hommes de cette classe d’âge (43 %). Ainsi que les personnes les moins diplômées (30 %). Durant le confinement, ces pourcentages ont été moins élevés. Mais les moins de 35 ans reste la catégorie la plus touchée avec 21 % d’envie suicidaire « réelle ».

Fragilisation

L’étude explique notamment qu’en temps de crise ou de guerre, les phénomènes de suicide se réduisent, mais reprennent après… «  La période de l’après confinement est une période de fragilisation psycho-sociale à l’origine d’une aggravation des pensées suicidaires.»

Idées suicidaires

Parmi les catégories professionnelles les plus touchées, l’on retrouve, sans surprise, les chômeurs avec 25 % d’ « intention réelle de se suicider »  depuis la fin du confinement, les dirigeants d’entreprises (avec 27 %) et les artisans-commerçants (avec 25 %).

Graves tensions

27 % des sondés estiment avoir expérimenté de graves tensions durant le confinement. L’enquête montre que, parmi les 78  % de personnes interrogées de l’échantillon, qui ont passé la période de confinement en couple, 9 % disent avoir vécu de graves tensions et disputes au sein de leur foyer. 1 % déclare avoir été victime de violence conjugale.

Tentatives

L’étude ajoute que, parmi les personnes qui ont déjà envisagé le suicide (20 % des Français), 27 % ont déjà fait une tentative de suicide provoquant une hospitalisation (22 % en 2016). Elle ajoute que le décès d’un proche suite à un suicide élève la fréquence des idées suicidaires.

Maladie

Parmi les personnes interrogées, 30 % indiquent souffrir d’une maladie chronique.
Enfin, durant la dernière période de confinement (au printemps 2020) 40 % des répondants disent avoir continué leur travail comme d’habitude, 31% étaient en télétravail, 21% ont été placés en chômage partiel ou en congé. 8 % étaient au chômage.

Sondage Ifop

L’étude de l’Ifop a été effectuée sur un échantillon de 2 000 personnes (représentatif de la population française) âgées de 18 ans et plus. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 21 au 28 septembre 2020.

Pierre Luton

© songpholt – stock.adobe.com

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